Cela peut faire sourire, mais j'entends très souvent l'idée suivante : "aller voir un psy ? mais je ne suis pas fou / folle !" Et c'est la première chose à laquelle j'ai personnellement pensé avant de franchir le pas et de prendre mon premier RDV. La deuxième chose que je me suis dite c'est : "pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt ?". Il est donc normal d'avoir une petite hésitation quand vient le moment où l'on réalise qu'il est temps de faire quelque chose.
Le premier contact se fait par téléphone, avec un très rapide tour d'horizon afin de comprendre la raison principale de votre difficulté. Lors du premier rendez-vous en face à face, nous apprenons à faire connaissance en toute simplicité, sachant que les séances durent entre 60 et 90 minutes. Quelques rencontres permettent de dresser un diagnostic psychique et de commencer un travail plus profond.
Également connu sous le nom de «psychothérapie de soutien», il s'agit d'accompagner un patient pour l'aider à surmonter une épreuve particulièrement difficile, telle que la maladie grave, la découverte d'une maladie chronique, le deuil, le divorce, le licenciement, le harcèlement, une situation de rupture, etc. La séance se déroule face à face, installé dans un confortable fauteuil, animée par une discussion simple et conviviale. L’accompagnement psychologique peut également être envisagé dans des moments de moindre intensité dramatique mais de profond changement, tels que la réorientation professionnelle, le coming-out, une séparation ou une relation toxique, etc. L’accompagnement psychologique a une durée variable et peut également déboucher sur une psychothérapie.
Quelle est votre demande, qu’est-ce qui vous pousse à consulter, qu’est-ce qui vous fait souffrir ?
Souvent le moteur de la demande est la souffrance. Il est important de l’exprimer, de parler de ce que vous ressentez, de vos émotions. Essayez d’identifier dans quels contextes ou situations ou en présence de quels types d’éléments vous souffrez. Identifiez les pensées présentes lors de ces moments difficiles : ce que vous vous dites, les images qui apparaissent dans votre tête lors de ces situations. Observez ce que vous faites, vos stratégies pour diminuer la souffrance : par exemple, j’essaye de ne pas y penser, je prends un verre, je crie de colère, je m’en fuis, j’évite la situation…. Et aussi les résultats de ces stratégies : je me sens peut-être mieux à court terme en faisant cela, mais ma souffrance s’intensifie, elle augmente…
Merci pour votre mail, je vous repond au plus vite, raphael.
oops, petite erreur, merci de me contacter au 06 25 75 73 39. raphael.
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